Description des niveaux de difficultés des trek
Les pictogrammes de difficultés des treks sont basés sur la méthode de cotation de la difficulté que vous pouvez retrouver dans le Guide pratique de cotation des randonnées pédestres ci-joint : Guide cotation ffrandonnee 2020 (3.54 Mo).
TECHNICITÉ | Il s’agit de la difficulté technique et motrice (présence et taille d’obstacles). |
Niveau 1 – FACILE : Itinéraire ou portion d’itinéraire ne présentant quasiment aucun obstacle particulier, ni quasiment aucune difficulté de progression (ex : parcours urbain). La pose du pied s’effectue à plat, en tout endroit du support. | |
Niveau 2 – ASSEZ FACILE : Itinéraire ou portion d’itinéraire présentant des obstacles d’une taille inférieure ou égale à la hauteur de la cheville. La pose du pied s’effectue en recherchant des zones « à plat », ou « confortables » du support, assez facilement repérables. | |
Niveau 3 – PEU DIFFICILE : Itinéraire ou portion d’itinéraire présentant au moins un obstacle d’une taille inférieure ou égale à la hauteur du genou. La pose du pied s’adapte à l’irrégularité du support. Le placement des appuis se fait sur les zones de meilleure adhérence. | |
Niveau 4 – ASSEZ DIFFICILE : Itinéraire ou portion d’itinéraire présentant au moins un obstacle d’une taille inférieure ou égale à la hauteur de la hanche. La pose du pied (pointe ou talon) s’adapte à l’irrégularité générale du support. L’utilisation des bâtons est nécessaire à un bon équilibre. | |
Niveau 5 – DIFFICILE : Itinéraire ou portion d’itinéraire présentant au moins un obstacle d’une taille supérieure à la hauteur de la hanche. Les franchissements nécessitent l’utilisation des mains. Les passages peuvent être ou sont sécurisés par des équipements. Les bâtons peuvent être une gêne à la progression. | |
EFFORT | Il s’agit de la difficulté physique de la randonnée pédestre. |
Niveau 1 – FAIBLE : La randonnée pédestre est sans difficulté physique particulière. Ce niveau correspond aux promenades et aux balades. | |
Niveau 2 – ASSEZ FAIBLE : La randonnée pédestre présente peu de difficulté physique. Ce niveau correspond aux promenades et à de petites randonnées. C’est également la limite supérieure des sorties Rando Santé®. | |
Niveau 3 – PEU ÉLEVÉ : La randonnée pédestre nécessite un certain engagement physique qui reste toutefois mesuré. Ce niveau correspond à des randonnées pédestres modérées. | |
Niveau 4 – ASSEZ ÉLEVÉ : La randonnée pédestre présente des difficultés et nécessite un engagement physique certain. Ce niveau correspond à des randonnées pédestres plus soutenues. | |
Niveau 5 – ÉLEVÉ : La randonnée pédestre présente des difficultés et nécessite un engagement physique important. Ce niveau correspond à des randonnées pédestres très soutenues. | |
RISQUE | Il s’agit de la difficulté liée au danger de chute/glissade et des conséquences possibles |
Niveau 1 – FAIBLE : niveau faible de risque d’accidents. L’exposition au danger peut êtrequalifiée de mineure. Exemples : chemin blanc en forêt, voie verte, itinéraires urbains avecaménagements piétonniers, itinéraires ruraux sans accidents de terrain marqués… | |
Niveau 2 – ASSEZ FAIBLE : niveau assez faible de risque d’accidents. L’exposition au danger demeure limitée. Les blessures sont possibles mais mineures (exemples : chemin au relief assez marqué avec présence possible de talus, luxation et entorses possibles en cas de chute…). | |
Niveau 3 – PEU ÉLEVÉ : niveau peu élevé de risque d’accidents. L’exposition au danger est avérée (exemple : itinéraire vallonné exposant le randonneur sur certains passages à de graves blessures, fractures…). | |
Niveau 4 – ASSEZ ÉLEVÉ : niveau assez élevé de risque d’accidents. L’exposition au danger peut être qualifiée de forte. Les possibilités de blessures graves sont réelles et multiples. Le danger de mort est possible (exemple : itinéraire de randonnée de montagne présentant des passages délicats à fort dévers, pentes raides exposées multiples, équipement possible, présence de barres rocheuses…). | |
Niveau 5 – ÉLEVÉ : niveau élevé de risque d’accidents. L’exposition au danger peut être qualifiée de « maximale ». Le danger de mort est certain en cas de chute (exemple : itinéraire de type alpin avec engagement physique total, falaises, barres rocheuses multiples, itinéraires pouvant être équipés de prises et de mains courantes). |